Les conférences d’achats annuelles organisées par l’Association suisse d’acheteurs, Procure, sont un lieu de rencontre pour les professionnels de l’achat.

Cette année, la conférence avait pour thème « Comment monter sa maturité achats ? ».

J’ai eu la chance cette année de me voir proposé le poste de “Keynote speaker” de cette édition. J’avais également participé aux précédentes éditions en tant qu’intervenant. 

Dans cette vidéo, je vais vous retranscrire les temps forts de la conférence, les initiatives, les expériences, les bonnes pratiques et les fonctionnements des organisations achats. Nous reviendrons également sur les raisons pour lesquelles la maturité des achats est un sujet important pour les professionnels de l’achat. 

Si vous êtes intéressé par le domaine de l’achat, cette vidéo vous donnera une perspective unique sur ce métier passionnant. 

Alors, asseyez-vous, détendez-vous et rejoignez-nous pour ce compte-rendu du keynote speaker de la conférence annuelle d’achats de Procure. 😉

 

 

Il y a quelques jours, j’étais en Suisse, à Lausanne, où je participais à la cinquième conférence achats qu’organise l’Association suisse d’acheteurs, Procure.  Tous les ans, Procure organise sa conférence achats annuels.

C’est Hugues Poissonnier qui est à la manette pour organiser cette conférence achats.

 

Le thème de la maturité achats

Cette année, le thème était la montée en maturité des achats.

 

Comme à son habitude, il avait convié à cette conférence des responsables achats, des acheteurs, mais également des professeurs, des académiciens et des consultants.

 

C’était un super moment entre acheteurs : on a parlé du métier, de son développement, mais aussi des initiatives, des expériences, mais aussi des bonnes pratiques et des fonctionnements des organisations achats.

 

Alors moi dans tout cela ? Après être intervenu lors des précédentes éditions cette année, Hugues m’a demandé d’être le Keynote speaker.

 

J’ai tout de suite accepté. Et puis je me suis renseigné sur ce que c’était un keynote speaker.

Alors j’ai appelé Hugues et je lui ai dit : “Mais euh. C’est quoi un keynote speaker ?”

Et il m’a dit : “Fabrice, c’est cool, tu écoutes toute la conférence et à la fin de chaque intervention, tu fais une synthèse et tu poses des questions. C’est ça qui un keynote speaker.”

Alors eh bien, je suis allé à cette conférence.

 

Ce que je vous propose aujourd’hui, c’est de revenir sur les temps forts que nous avons partagés.

Encore une fois, merci pour cette belle journée qu’il nous a organisée.

Merci à tous les participants et merci à Procure qui vous donne d’ores et déjà rendez-vous pour la sixième édition.

 

La journée était rythmée autour de trois tables rondes qui d’ailleurs à ce propos, les tables étaient pas rondes.

 

Tous les intervenants que je vais citer dans cette vidéo, vous pourrez retrouver leur profil sur LinkedIn et vous pourrez les contacter directement.

 

 

Alors tout d’abord, on s’est interrogé pourquoi une énième conférence sur la maturité achats ?

 

Je me suis posé la question mais est ce que les autres fonctions, est-ce que les commerciaux, est-ce que les opérations, est-ce que le marketing se pose autant cette question de la montée en maturité des organisations ?

Mais bon, c’est comme cela, c’est le lot des acheteurs. On s’interroge en permanence sur là où on est et là où on voudrait être et comment on progresse. Alors c’est ça que je vais vous retranscrire aujourd’hui :

 

TABLE RONDE 1

 

Serge Sahli – CVCI

 

Première table ronde, une table ronde avec une intervention de Serge Sahli. Serge Sahli travaille pour le CVCI. Il nous a parlé du rôle des achats dans la performance des exportations.

 

C’est un sujet sensible pour la Suisse.

J’ai appris que la Suisse était le premier pays au monde qui disposait d’autant d’accords de libre échange.

Il est important dans ces échanges de bien disposer de la preuve de l’origine des produits et c’est souvent de cette partie documentaire dont les acheteurs ont un rôle à jouer. C’est souvent une partie un peu plus obscure.

 

Pour tout vous dire, je n’avais pas la bonne compréhension et la bonne connaissance, mais j’ai vu à quel point c’était important de disposer de l’ensemble de cette base documentaire, parce que ça concourt aussi à la performance des achats et globalement à la performance de l’organisation. 

 

Alexandre Vukanovic

 

Deuxième intervention : Alexandre Vukanovic. Alexandre nous a parlé de la performance industrielle et tenez vous bien, il nous a évoqué la performance 4.0.

 

Alexandre est spécialisé dans la logistique.

Il est revenu avec nous sur l’importance des datas, de la mobilité et il nous a pris quelques exemples très concrets sur la manière dont tous ces éléments pouvaient être mis en œuvre.

 

Là aussi, je vous encourage à aller regarder son profil, à échanger avec lui et voir en quoi cette dimension des data et des données appliquées aux achats est vraiment un levier intéressant pour faire grandir l’organisation.

 

Enfin, il est revenu sur la gestion en temps réel de cette logistique avec les outils utilisés. 

 

 

Carol Rosen et Laurent Bejjani – Mélioris

 

Enfin, nous avons écouté l’intervention de Carol Rosen et Laurent Bejjani, du cabinet de conseil suisse Mélioris.

 

Ils sont revenus avec nous sur la place des achats dans les organisations et l’importance des comportements.

Bien sûr, ils nous ont expliqué que la maturité achat est souvent très liée et connectée au secteur, donc elle se trouve et la maturité pourrait être assez différente quand on intervient dans un univers public, dans un secteur industriel ou dans une société de services.

 

Souvent, les organisations achats sont nées là où la pression économique était des plus importantes, mais aujourd’hui, elles touchent tous les secteurs d’activité et nous ont aussi alerté sur le fait de ne pas tomber dans certaines caricatures.

Entre les achats du secteur privé et du secteur public.

 

Aujourd’hui, les niveaux de maturité peuvent être très élevés dans tous les secteurs.

 

Tout ça, c’est fonction bien sûr des enjeux, de la stratégie, de l’importance de la direction générale qui est souvent un levier important de la mise en place des organisations achats.

 

On a également parlé de formation et de l’importance de la formation et souvent, ce sont des difficultés de trouver des formations adaptées à ces besoins. Alors c’est une des activités de Procure qui peut vous aider.

 

Voilà, c’est vrai qu’il y a beaucoup d’écart entre les écoles de formation, par exemple, qu’on peut trouver en France, où il y a une offre qui est assez large.

 

Historiquement, je crois que la France est un des pays en Europe, en tous les cas au moins, qui propose vraiment beaucoup de formations sur le métier achats, ce qui est un peu moins vrai en Suisse.

 

Ils ont insisté avec nous également de l’importance de la gouvernance des achats et je partage complètement ce point de vue. Il est important de poser des règles du jeu.

 

L’organisation achat dépend souvent des objectifs qu’on veut lui allouer, que ce soit en termes de performance économique, d’innovation, de services, de qualité, de sécurisation.

Tous ces sujets vont influer sur l’organisation et sur son développement.

 

 

J’en ai profité pour rappeler les sept points d’une organisation achats performante que vous pourrez retrouver dans le Livre blanc que je vous mets en téléchargement.

La relation avec sa direction générale, les ressources humaines et les pratiques des acheteurs, la connaissance des fournisseurs, la satisfaction des clients internes, les systèmes d’information et le pilotage, la communication, aussi bien en interne et en externe, et les achats responsables.

 

Sept thèmes qui vous permettent d’évaluer le niveau de maturité et la feuille de route qu’il va falloir construire pour développer l’organisation achat.

 

 

TABLE RONDE 2

 

Bertrand Sinéchal – SAP

 

Table ronde numéro deux, c’est Bertrand Sinéchal de SAP, qui ouvre le bal. Je savais l’importance de SAP dans le monde du logiciel, dans le monde de l’ERP au niveau mondial, je n’avais pas la bonne connaissance de ce qu’il est capable de faire pour aider vos organisations à grandir et l’intervention était super intéressante.

 

La première question qu’a évoquée Bertrand, c’est la valeur et donc de définir cette valeur.

Et pour chacun des thèmes suivants, on peut appréhender la maturité et la valeur autour de trois niveaux.

 

Voici les quelques thèmes qu’il nous a proposé :

• la maîtrise des coûts,
• la gestion des processus,
• la qualité,
• l’innovation,
• la réglementation,
• la gestion des risques,
• l’expérience utilisateur
• et la RSE.

Sur tous ces sujets, différents niveaux d’appréciation et des niveaux qui vont permettre aussi d’identifier l’état des lieux là où on est et là où on veut aller. 

 

Il nous a parlé d’agilité dans le développement de l’organisation. Je partage complètement ce point de vue.

 

Et en fin de fonctionnement, en sprint, en se donnant des objectifs à court terme qui permettent de les atteindre, puis ensuite de passer à un autre objectif.

C’est une vision qui est très intéressante, qui nous vient souvent aussi de l’univers du digital.

Ça fait partie des règles du développement de fonctionner sur ces logiques de sprints répétés. 

 

Enfin, dans cette dimension d’agilité, j’aimerais vous partager souvent une phrase que je me répète à moi même et que je partage avec mes équipes : “Avoir peur et le faire quand même.”

C’est le test and learn, c’est-à-dire que, et bien on met en œuvre, et c’est valable aussi pour une organisation, c’est peut-être pas exactement ce qu’on doit faire, mais on avance, on ne procrastine pas, on met en œuvre, on teste, on corrige, on ajuste et on avance ainsi, on se développe. 

 

Enfin, il a insisté sur la notion de collaboration et de simplification.

La conduite du changement, c’est aussi mettre en œuvre, partager et trouver les bonnes manières de coopérer. 

 

 

Vincent Laplante – ex-Richemont

 

Après Bertrand, c’est Vincent Laplante, l’ex-patron des achats de Richemont, qui est venu intervenir.

J’étais heureux de retrouver Vincent, que j’avais croisé il y a quelques années en arrière.

Vincent est maintenant un consultant et il est venu nous raconter la belle histoire des achats que lui-même, il a créé chez Richemont

 

En arrivant dans l’organisation, en installant les premières prises de conscience année après année, il a mis en place, et après douze ans, il est venu nous partager les réussites, les éléments de difficultés, avec une grande transparence.

Et c’était un témoignage super intéressant et qui nous montre aussi les évolutions que l’on peut réaliser au sein d’une organisation qui intervient sur le monde, de l’horlogerie et l’horlogerie, du luxe. 

 

Vincent nous a évoqué également cette notion de maturité collective des achats. C’est un point qui est extrêmement important, c’est-à-dire que cette montée en maturité n’est pas consacrée uniquement à deux ou trois dix personnes que sont les acheteurs, mais bien l’ensemble de l’entreprise.

 

 

Sara Carmignani – Unige

 

Et puis, c’était au tour de Sara Carmignani, cheffe du campus de Genève, de venir intervenir là aussi.

Super intervention. Sara nous a dit que pour s’occuper des achats sur le campus, il n’y avait que deux personnes qui étaient mobilisées et que forcément, son principal combat, ça avait été d’accepter qu’elles ne pourraient pas tout traiter.

C’est le quotidien des acheteurs. Vous avez souvent plus de choses à faire que vous ne pouvez en faire.

Où est-ce qu’on va mettre notre énergie ?

Et qu’est-ce qu’en conscience, on va décider de ne pas adresser ?

 

Un super témoignage de Sara, cette notion de renonciation.

 

J’ai bien aimé la manière dont elle a eu de l’exprimer et de montrer pour autant comment elle avance, comment elle s’installe sur certains périmètres de dépenses, comment elle prend place dans l’organisation et comment, petit à petit, elle vient transformer les pratiques du campus de Genève.

 

Elle a aussi décrit avec beaucoup de précision la manière dont elle avait décidé d’embarquer ses clients internes dans cette transformation, cet onboarding.

Là aussi, c’est un sujet majeur de vos conduites du changement. Bon témoignage Sara.

 

 

Sébastien Blandino – Johnson and Johnson

 

Enfin, dernière intervention de cette deuxième table ronde, Sébastien Blandino. Sébastien Blandino, ce sont les achats de Johnson and Johnson.

 

Et Sébastien, c’est Back to basics.

Il est revenu sur la nécessité de définir un plan d’action, des actions opérationnelles, des jalons et une feuille de route. Et tout ça de manière très concrète.

 

Sébastien nous a parlé de son expérience d’implication des fournisseurs.

On est dans le gagnant-gagnant et il en a donné un éclairage très concret, très vivant, très réel.

 

Et il a terminé son intervention par un regard plus particulier sur le besoin.

 

Vous savez, on retrouve souvent dans vos fiches de poste cette notion de challenge du besoin.

Mais au-delà de ces incantations dans les faits, combien de fois vous vous intéressez aux besoins ?

Vous êtes en capacité avec vos prescripteurs, vos utilisateurs à le remettre en cause, à le faire évoluer ?

Ce n’est pas si souvent que ça.

Alors, il a partagé ces expériences et ce regard tout particulier.

 

Et c’est très intéressant parce que vous le savez, quand on s’intéresse aux besoins, on est au début de l’histoire et c’est là qu’on va générer les éléments de performance qu’on va retrouver à la fin du projet. 

 

 

 

Je profite de faire une pause avant d’attaquer la troisième table ronde pour vous parler de mon blog, apprendre les achats.

Inscriez-vous également sur le blog : deux fois par mois, je vous adresse une newsletter où on va parler du métier, des événements, des publications, des informations que vous me communiquez et j’en profite pour remercier tous ceux qui échangent avec moi sur le sujet. 

 

 

TABLE RONDE 3

 

Table ronde numéro trois : les profs, les académiques, ceux qui viennent partager leurs connaissances, qui cherchent, qui aident à poser des points de repère.

 

Gwenaëlle Oruzebala – professeure à l’Université de Nantes

 

Et on a démarré cette table ronde numéro trois avec Gwenaëlle Oruzebala qui est professeure à Nantes.

Gwenaëlle nous a parlé des achats responsables et des démarches consistant à imaginer les scénarios des possibles.

Et c’était très intéressant, à partir de ces scénarios possibles, d’imaginer les scénarios du moment dans cette transformation qui est en cours et qui concerne au premier chef les achats.

 

Raphaël Bellière – Meotec

 

Et puis est intervenu Raphaël Bellière. Raphaël Bellière travaille pour Meotec.

Il est enseignant à Paris-Saclay et Raphaël nous a parlé de digitalisation et il nous a proposé un certain nombre de points de repère sur ce thème qui est certes un thème de grande actualité pour les organisations achats, mais sur lequel, bien souvent, là aussi, on a du mal à se donner quelques points de repère.

 

J’ai particulièrement aimé son intervention. Elle était claire, elle était précise et on sentait qu’il avait déjà conduit, par rapport à ses anciens postes, un certain nombre de projets dans lesquels il avait été confronté à ces réalités.

 

Premièrement, l’importance de la data.

On parle souvent de cette big data.

Moi, j’aime bien parler de la good data, mais cette data, elle est où ?

Comment on y accède ?

Comment on s’assure qu’elle est de bonne qualité ?

Et comment, en permanence, on s’assure qu’elle va être maintenue et entretenue ? 

Et alors là, il nous est arrivé avec nous avec un regard tout particulier sur ce qu’on appelle la maturité autour de la digitalisation.

 

Bien souvent, quand on appréhende ce sujet, on parle d’outils, on parle de process, on est très technique.

Eh bien, lui, il s’est intéressé au sujet à travers le parcours utilisateur. Et c’est à travers ce regard des utilisateurs qu’il vient appréhender le niveau de maturité sur la digitalisation.

Et j’ai trouvé ça super intéressant.

 

Et c’est sûrement là qui est sûrement la grande pertinence de vos projets.

Le projet, il va se regarder avec l’utilisateur.

Est-ce que la personne qui va utiliser vos outils demain, elle va pouvoir gagner du temps, travailler mieux, collaborer plus facilement, faire mieux son métier ?

Est-ce que ça va rester simple pour elle ?

C’est ça qui va faire un projet achat réussi.

 

Il n’a pas oublié de nous parler de technologies et d’outils. Mais une fois encore, en regard du besoin des utilisateurs. 

 

Enfin, il nous a évoqué les sujets autour de l’intelligence artificielle.

C’était il y a quelque temps. On était un peu encore dans ces questionnements dont on sent bien que ça arrive. Mais ce n’est pas encore là.

Et puis ChatGPT est arrivé et là, j’ai le sentiment qu’on est en train de franchir un coup d’accélération, au moins sur cette dimension-là.

 

Donc, on sent bien qu’on va dans cette direction et ça va être intéressant pour les achats parce que peut-être qu’un certain nombre de sujets peuvent être adressés en support, en aide, en contribution de cette intelligence artificielle. 

 

 

D’ailleurs, on organise un webinaire sur ce sujet ! Pour s’inscrire c’est par ici 😉

 

 

Alors, Raphaël aussi nous a proposé son échelle à lui de maturité à travers la digitalisation :

1. Premier niveau, la dématérialisation du processus achats.
2. Deuxième niveau, la qualité de la donnée.
3. Troisièmement, l’interopérabilité. Comment les solutions vont échanger entre elles des informations ?
4. Quatrième niveau, la direction achats devient digitale.

Et puis enfin, le digital est au cœur des préoccupations et on met en place la supply chain 4.0. 

 

Enfin, il est revenu sur la conduite du changement dans la mise en place d’un projet et l’absolue nécessité de disposer de leadership achats dans cette transformation.

 

 

Fabienne Fel – professeure à l’ESCP Business School

 

Et puis enfin, on a laissé la parole à Fabienne Fel pour la dernière intervention de cette table ronde. Fabienne est professeure à l’ESCP Business School et Fabienne est intervenue pour nous parler de relocalisation.

 

Super intéressant. Les directions achats, d’il y a quinze ans, il y a 20 ans, ont passé leur temps à délocaliser dans les pays low cost.

Et puis on a un effet retour où maintenant, on cherche à reproduire, à réimplanter, non sans mal.

Et à ce niveau, la Suisse a un grand avantage par rapport à la France, c’est que la Suisse a assez peu délocalisé.

La Suisse a plutôt une culture de production locale avec un écosystème qui est resté proche des besoins des entreprises, des organisations.

Là où la France a eu souvent tendance, au niveau industriel, à partir plus loin. 

 

Donc Fabienne a fait une grande étude et nous a partagé que peu d’informations parce que le temps était un peu compté dans cette journée. Je vous encourage là aussi à la contacter si vous voulez en savoir plus. C’est vraiment super intéressant. 

 

 

Voilà cette expérience de keynote speaker, dont j’ai pris à la fois beaucoup de plaisir à essayer de retranscrire après chaque table ronde les éléments essentiels partagés. À essayer aussi d’éclairer un peu avec ce regard que j’ai autour des organisations, du digital maintenant, avec notre solution Okaveo, mais également de la manière dont tout ça évolue et grandit dans les différents secteurs.

C’est vraiment une journée à reproduire et je vous encourage vraiment si vous ne connaissez pas à venir vous inscrire l’année prochaine. 

 

Merci encore à Laetitia, à toute l’équipe de Procure pour ce bon moment qu’on a passé ensemble.

On remercie naturellement Hugues, le grand manitou de cette conférence et surtout le grand expert du métier achat, du marketing.

C’est quelqu’un dont vous savez j’aime beaucoup les, les échanges et les partages qu’on peut avoir. Vous trouverez beaucoup de vidéos dans lesquelles il est impliqué sur ce site, à très bientôt. 

 

Rendez vous le 16 novembre 2023 à Lausanne pour la sixième conférence de Procure.